Fondateur du site AmarokProg en 2003, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts depuis. Passionné de cinéma(s) et de musique(s), ce qui devrait surprendre toute la communauté, mézigue met à profit ces petites lubies dans son cadre professionnel ce qui ne manque ni de sel, ni de poivre (tout comme ses cheveux diront les moins obséquieux). What else?
Il y a dix ans déjà débarquait de Norvège le sextuor Magic Pie avec un Motion In Desire (2005) qui combinait subtilement le rock progressif de l’âge d’or (Pink Floyd, Camel) et un hard rock sec comme un coup d...
L’expression « Storm Corrosion » du nom du projet et de son premier album éponyme pourrait évoquer une A.D.N. indocile, rugueuse, voire fiévreuse. Et bien non ! Il faut dire que l’arlésienne d’un duo formé par...
N’ayant jamais été en pamoison face la musique de Arena (même Pride en 1996 ou The Visitor en 1998), déçu comme beaucoup par les dernières livraisons Pepper’s Ghost (2005) et The Seventh Degrees Of Separation...
Niché dans les plus hautes sphères des amateurs d’un progressif dît "contemporain" (moderne, in extenso), à la foi musclé et délicat, Porcupine Tree venait une nouvelle de convaincre tout le monde avec le rem...
S’il y a un album dont on n’attendait pas grand-chose, c’est bien le 18ème opus de l'indéfectible trio canadien de Rush : Snakes & Arrows. Il faut dire qu'en 2007, beaucoup de pseudos spécialistes voyaien...
Depuis 15 ans, Glass Hammer se joue de nos madeleines yessiennes comme d’un Jokari. En donnant le micro à Jon Davison sur If (2010), le duo leader Steve Babb et Fred Schendel affichait un peu plus sa volonté ...
Des cierges à l’électricité il n’y a qu’un pas et début 2007, Neal Morse poursuivait sa route loin du préchauffé, de l’aseptisé courtois. Avec le très rempli Sola Scriptura (soixante-seize minutes au garrot),...
Malentendu ou méprise dû à son patronyme si particulier, Phideaux Xavier n’a rien d’un truc bizarre qui affirmerait son goût pour la soupe, même épicée, ou la nourriture pour chaton mou. Avec cinq albums en au...
Après nous avoir balancé deux albums aux forceps, riffs meurtriers saccagés par des coups de grisous assourdissants, Dream Theater raffûtait sur les rivages durcit d'un métal ombrageux. Du coloriage rouge vif ...